• Record absolu du nombre de Demandeurs d'Emploi

    La promesse :
     
    Le 9 septembre 2012, sur le plateau du "20 heures" de TF1, le chef de l'Etat garantissait d'"inverser la courbe du chômage d'ici un an". (...)Une promesse répétée lors des vœux présidentiels du 31 décembre, et repoussée de trois mois à l'occasion : "Toutes nos forces seront tendues vers un seul but : inverser la courbe du chômage d'ici un an, […] coûte que coûte."

    Source : LeMonde.fr

     

    Au 31 décembre 2012, la France comptait 3 125 400 demandeurs d'emploi catégorie A, en France métropolitaine. 

    Au 31 décembre 2013, la France comptait 3 303 200 demandeurs d'emploi catégorie A (en France métropolitaine). 

    Au 31 décembre 2014, la France comptait 3 500 700 demandeurs d'emploi catégorie A (en France métropolitaine). 

    Au 31 novembre 2015, la France comptait 3 574 800 demandeurs d'emploi catégorie A (en France métropolitaine). 

     

    Record absolu du nombre de Demandeurs d'Emploi

     

    Notes : 

    Le nombre de demandeurs d'emploi (DE) est utilisé comme indicateur du chômage. Les demandeurs d'emploi sont les personnes inscrites à Pôle Emploi.

    Leur nombre va donc dépendre à la fois de la situation de l'emploi, mais aussi de règles administratives définies par l'Etat, et qui changent au cours du temps. Par exemple, la baisse du nombre de DE peut signifier non pas une amélioration de la conjoncture économique, mais un durcissement des critères d'inscription ou une augmentation des radiations des listes de Pôle Emploi. C'est néanmoins "l'indicateur" retenu par les média car ses caractéristiques correspondent bien aux attentes médiatiques : les chiffres sortent chaque mois, livrant le nombre de DE avec seulement un mois de décalage.

    Il existe 5 catégories (A,B,C,D,E) de DE inscrits à Pôle Emploi. On retiendra que :
    - La catégorie A correspond aux demandeurs d'emploi en recherche d'emploi, sans emploi
    - L'ensemble des catégories A, B, C correspond aux demandeurs d'emploi en recherche d'emploi (sans emploi ou en sous-emploi).
    - L'ensemble des catégories A, B, C, D, E correspond au total des inscrits.

    Ces indicateurs sont exprimés la plupart du temps en valeur absolue, et non en poucentage de la population active. 

    On peut comparer l'évolution du nombre de DE avec celle du nombre de chômeurs calculé par l'INSEE selon les critères du BIT (France Métropolitaine).

     


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  • Commentaires

    1
    BA
    Samedi 30 Janvier 2016 à 07:43

     

    Vous vous rappelez toutes les belles promesses au moment du référendum sur le traité de Maastricht ?

     

     

     

    - « Quand on dit que l’Europe de Maastricht créera des emplois, ça reste vrai. Il se trouve que le traité de Maastricht n’est pas encore appliqué. Lorsqu’il le sera, il est évident qu’il y aura une très forte croissance qui en découlera, car nous aurons un grand espace économique avec une monnaie unique. » (Jacques Attali, sur France 2, débat télévisé « Polémiques » animé par Michèle Cotta)

     

     

     

    - « Si le traité de Maastricht était en application, finalement la Communauté européenne connaîtrait une croissance économique plus forte, donc un emploi amélioré. » (Valéry Giscard d’Estaing, 30 juillet 1992, RTL)

     

     

     

    - « L’Europe est la réponse d’avenir à la question du chômage. En s’appuyant sur un marché de 340 millions de consommateurs, le plus grand du monde ; sur une monnaie unique, la plus forte du monde ; sur un système de sécurité sociale, le plus protecteur du monde, les entreprises pourront se développer et créer des emplois. » (Michel Sapin, 2 août 1992, Le Journal du Dimanche)

     

     

     

    - « Maastricht constitue les trois clefs de l’avenir : la monnaie unique, ce sera moins de chômeurs et plus de prospérité ; la politique étrangère commune, ce sera moins d’impuissance et plus de sécurité ; et la citoyenneté, ce sera moins de bureaucratie et plus de démocratie. » (Michel Rocard, 27 août 1992, Ouest-France)

     

     

     

    - « Les droits sociaux resteront les mêmes – on conservera la Sécurité sociale –, l’Europe va tirer le progrès vers le haut. » (Pierre Bérégovoy, 30 août 1992, Antenne 2)

     

     

     

    - « Pour la France, l’Union Economique et Monétaire, c’est la voie royale pour lutter contre le chômage. » (Michel Sapin, 11 septembre 1992, France Inter)

     

     

     

    - « C’est principalement peut-être sur l’Europe sociale qu’on entend un certain nombre de contrevérités. Et ceux qui ont le plus à gagner de l’Europe sociale, notamment les ouvriers et les employés, sont peut-être les plus inquiets sur ces contrevérités. Comment peut-on dire que l’Europe sera moins sociale demain qu’aujourd’hui ? Alors que ce sera plus d’emplois, plus de protection sociale et moins d’exclusion. » (Martine Aubry, 12 septembre 1992, discours à Béthune)

     

     

     

    - « Si aujourd’hui la banque centrale européenne existait, il est clair que les taux d’intérêt seraient moins élevés en Europe et donc que le chômage y serait moins grave. » (Jean Boissonnat, 15 septembre 1992, La Croix)


     

     

     

    2
    BA
    Lundi 1er Février 2016 à 20:59

     

    Lundi 1er février 2016 :

     

     

     

    Patrick Artus (Natixis) : « La prochaine crise sera extraordinairement violente. »

     

     

     

    http://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/021663280823-p-artus-natixis-la-prochaine-crise-sera-extraordinairement-violente-1196739.php

     



     

    3
    BA
    Vendredi 5 Février 2016 à 18:06

    Séisme politique au Royaume-Uni ! Au Royaume-Uni, dans les semaines qui viennent, il y aura un référendum sur le maintien ou la sortie de l'Union Européenne. Dans le sondage du vendredi 5 février 2016, les partisans de la sortie de l'Union Européenne explosent leur record !

     

    Pour rester dans l'Union Européenne : 36 % des personnes interrogées.

     

    Pour sortir de l'Union Européenne : 45 % des personnes interrogées.

     

    Ne veut pas voter : 2 % des personnes interrogées.

     

    Ne sait pas : 18 % des personnes interrogées.

     

    Ensuite, l'institut de sondage pose la même question en excluant ceux qui ne savent pas et ceux qui ne veulent pas voter. Résultat : Pour rester dans l'Union Européenne : 44 % des personnes interrogées. Pour sortir de l'Union Européenne : 56 % des personnes interrogées.

     

    C'est la page 3 :

     

    https://d25d2506sfb94s.cloudfront.net/cumulus_uploads/document/4mzy46afe7/TimesResults_160204_EUReferendumDay1.pdf

    4
    BA
    Lundi 8 Février 2016 à 10:42

     

     

    Et la bulle du secteur de l'acier ?

     

     

     

    Nous pouvons en parler ?

     

     

     

    Après tout, le secteur de l'acier est aujourd'hui une gigantesque bulle, qui ne demande qu'à éclater.

     

     

     

    Lundi 8 février 2016 :

     

     

     

    Acier : attention au "risque d'effondrement" du secteur (ministres européens).

     

     

     

    Plusieurs ministres européens de l'Economie ont mis en garde lundi dans une lettre commune contre "un risque important et imminent d'effondrement du secteur européen de l'acier", confronté au "dumping" pratiqué par la Chine et à une situation de surcapacité mondiale.

    Dans cette missive adressée à la Commission européenne, les ministres de l'Economie allemand Sigmar Gabriel, français Emmanuel Macron, italien Federica Guidi, polonais Mateusz Morawiecki, britannique Sajid Javid, belge Kris Peeters et luxembourgeois Etienne Schneider appellent l'Union Européenne à "utiliser tous les moyens disponibles" et à "agir fortement pour répondre à ce nouveau défi".

     

     

     

    http://www.romandie.com/news/Acier-attention-au-risque-deffondrement-du-secteur-ministres-europeens/674354.rom

     

     

     

     

    5
    BA
    Mardi 9 Février 2016 à 09:23

     

    Il n'y a pas que la bulle boursière dans la vie.

     

     

     

    Il n'y a pas que la bulle bancaire.

     

     

     

    Il n'y a pas que la bulle chinoise.

     

     

     

    Il n'y a pas que la bulle immobilière.

     

     

     

    Il n'y a pas que la bulle de l'extraction pétrolière.

     

     

     

    Il n'y a pas que la bulle de l'art contemporain.

     

     

     

    Il n'y a pas que la bulle du secteur de l'acier.

     

     

     

    Il y a aussi la bulle obligataire.

     

     

     

    Lundi 8 février 2016, la France a lancé trois emprunts sur les marchés internationaux. Résultat :

     

     

     

    Quand la France lance un emprunt à 3 mois, le taux d'intérêt est de – 0,359 %.

     

     

     

    Autrement dit : les investisseurs perdent de l'argent en prêtant de l'argent à la France ! C'est la France qui gagne de l'argent quand elle emprunte !

     

     

     

    Quand la France lance un emprunt à 6 mois, le taux d'intérêt est de – 0,376 %.

     

     

     

    Quand la France lance un emprunt à 1 an, le taux d'intérêt est de – 0,426 %.

     


    La France s'endette depuis fin août 2014 à des taux négatifs sur des échéances de court terme, ce qui signifie que les investisseurs, qui cherchent à tout prix des placements sûrs, perdent de l'argent en prêtant à la France, pour qui emprunter sur ces échéances devient rémunérateur.

     

     

     

    http://www.romandie.com/news/Bonds-la-France-a-emprunte-6781-mrd-EUR-a-court-terme-lundi/674517.rom

     

     

     

    Mardi 9 février 2016 :

     

     

     

    Japon : taux négatif des obligations d'Etat à 10 ans, du jamais vu.

     

     

     

    http://www.romandie.com/news/Japon-taux-negatif-des-obligations-dEtat-a-10-ans-du-jamais-vu/674639.rom

     

     

     

     

     

     

     

    6
    BA
    Vendredi 12 Février 2016 à 11:50

     

    Il n'y a pas qu'en Grèce que les banques sont en faillite.

     

     

     

    Il n'y a pas qu'en Italie que les banques sont en faillite.

     

     

     

    Il n'y a pas qu'en Espagne que les banques sont en faillite.

     

     

     

    Il n'y a pas qu'au Portugal que les banques sont en faillite.

     

     

     

    Il n'y a pas qu'à Chypre que les banques sont en faillite.

     

     

     

    Il n'y a pas qu'en France que les banques sont en faillite.

     

     

     

    Il n'y a pas qu'en Allemagne que les banques sont en faillite.

     

     

     

    En Inde aussi.

     

     

     

    Vendredi 12 février 2016 :

     

     

     

    Inde : "chirurgie profonde" des créances des banques (gouverneur RBI).

     

     

     

    Le gouverneur de la banque centrale indienne (RBI), Raghuram Rajan, a estimé que les banques et autres prêteurs en Inde pourraient avoir besoin d'une "chirurgie profonde" pour venir à bout des prêts douteux et nettoyer leur bilan.

    M. Rajan, qui s'est fait connaître en particulier en anticipant l'éclatement d'une crise financière en 2008, a donné jusqu'en mars 2017 aux banques indiennes pour faire le ménage dans leur portefeuille d'actifs non performants.

    Il a prévenu jeudi, devant un parterre de dirigeants de banques à Bombay, que ce nettoyage "pourrait nécessiter une chirurgie profonde" et non des "pansements".

    "Les prêts en cours pourraient devoir être dépréciés en raison des changements de circonstances depuis qu'ils ont été accordés", a dit Raghuram Rajan.

     

     

     

    http://www.romandie.com/news/Inde-chirurgie-profonde-des-creances-des-banques-gouverneur-RBI/675978.rom

     

     

     

    7
    BA
    Lundi 15 Février 2016 à 14:03

     

    A propos des bulles de dette :

     

     

     

    Arrivées à ce niveau, les bulles de dette vont finir par éclater. Ou alors elles vont finir par être effacées.

     

     

     

    Que va-t-il se passer ? Le Plop ? Ou le Jubilé ?

     

     

     

    On va voir.

     

     

     

    En l'an 2000 :

     

    Dette des ménages : 19 000 milliards de dollars.

     

    Dette des entreprises : 26 000 milliards de dollars.

     

    Dette publique : 22 000 milliards de dollars.

     

    Dette des banques : 20 000 milliards de dollars.

     

    Total : dette mondiale de 87 000 milliards de dollars.

     

     

     

    En juin 2014 :

     

    Dette des ménages : 40 000 milliards de dollars.

     

    Dette des entreprises : 56 000 milliards de dollars.

     

    Dette publique : 58 000 milliards de dollars.

     

    Dette des banques : 45 000 milliards de dollars.

     

    Total : dette mondiale de 199 000 milliards de dollars.

     

     

     

    Vous avez bien lu : en juin 2014, la dette mondiale totale était de 199 000 milliards de dollars !

     

     

     

    Source : rapport McKinsey de février 2015 « Debt and (not much) deleveraging. »

     

     

     

    http://www.mckinsey.com/~/media/McKinsey/Global%20Themes/Employment%20and%20Growth/Debt%20and%20not%20much%20deleveraging/MGI%20Debt%20and%20not%20much%20deleveragingFullreportFebruary2015.ashx

     

     

     

    William White est l'ancien économiste en chef de la BRI, la Banque des Règlements Internationaux. Aujourd’hui, il est président du Comité d’examen des situations économiques et des problèmes de développement (Comité EDR) de l’OCDE à Paris. Lors du forum de Davos, il a déclaré :

     

     

     

    « La dette a continué de s’accumuler durant les huit dernières années. La dette a atteint des niveaux si élevés dans chaque région du monde qu’elle risque de déboucher sur des conséquences déplaisantes. (…) Il deviendra évident durant la prochaine récession qu’une grande partie de cette dette ne sera jamais remboursée. Ce sera très inconfortable pour des tas de gens qui pensent détenir des actifs valant quelque chose. (…) La seule question est de savoir si nous sommes en mesure de voir la réalité en face et de nous préparer à ce qui nous attend, ou si nous gérerons la crise de façon désordonnée. Les effacements de dette [ jubilé ] remontent à 5000 ans, depuis le temps des Sumériens. »

     

     

     

    http://www.telegraph.co.uk/finance/financetopics/davos/12108569/World-faces-wave-of-epic-debt-defaults-fears-central-bank-veteran.html

     

     

     

    8
    BA
    Jeudi 18 Février 2016 à 14:12

     

    Depuis septembre 2008, pour éviter l’effondrement, toutes les banques centrales du monde injectent des centaines de milliards dans le secteur financier. Mais ces liquidités ne descendent pas en bas, dans l’économie réelle.

     

     

     

    Ces liquidités vont s’investir en haut : dans les actions, dans les obligations d’Etat, etc.

     

     

     

    En clair : ces centaines de milliards ont formé des gigantesques bulles boursières, des gigantesques bulles obligataires, etc, qui continuent de gonfler.

     

     

     

    Depuis septembre 2008, toute l’économie mondiale repose sur ces gigantesques bulles.

     

     

     

    Exemple : la bulle obligataire française.

     

     

     

    - Jeudi 18 février 2016, la France a lancé un emprunt à 3 ans. Résultat : la France va payer un taux d'intérêt négatif ! C'est – 0,31 % ! Les prêteurs vont payer la France sur cet emprunt !

     

     

     

    - La France a lancé un emprunt à 4 ans. Résultat : taux d'intérêt négatif ! C'est – 0,15 % ! La France gagne de l'argent quand elle emprunte !

     

     

     

    - La France a lancé un emprunt à 11 ans. Résultat : taux d'intérêt négatif ! C'est – 0,20 % !

     

     

     

    - La France a lancé un emprunt à 24 ans. Résultat : taux d'intérêt de 0,16 %.

     

     

     

    Source :

     

     

     

    http://www.romandie.com/news/Bonds-la-France-a-emprunte-un-total-de-8496-mrd-EUR-a-moyenlong-terme-jeudi/677806.rom

     

     

     

    En France, plus l'économie réelle s'effondre, plus la France s'endette … plus les taux d'intérêt baissent !

     

     

     

    En France, il y a une différence énorme entre la valeur théorique d'une obligation d'Etat et sa valeur réelle.

     

     

     

    Cette différence énorme, c'est une bulle.

     

     

     

    Quand cette bulle obligataire éclatera, la France tremblera.

     

     

     

    9
    BA
    Samedi 20 Février 2016 à 15:27

     

    Il ne faut pas confondre une construction démocratique et une construction anti-démocratique.

     

     

     

    Le référendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne se tiendra le jeudi 23 juin 2016, a annoncé samedi le Premier ministre David Cameron à l'issue d'un conseil des ministres, le qualifiant de « l'une des plus grandes décisions d'une génération. »

     

     

     

    Et en France ?

     

     

     

    Nous allons avoir un référendum sur l'appartenance de la France à l'Union européenne ?

     

     

     

    Ou alors, en France, il n'y aura plus jamais de référendum sur la construction européenne ?

     

     

     

    Et aux Pays-Bas ?

     

     

     

    Ils vont avoir un référendum sur l'appartenance des Pays-Bas à l'Union Européenne ?

     

     

     

    Ou alors, aux Pays-Bas, il n'y aura plus jamais de référendum sur la construction européenne ?

     

     

     

    Le suspens est insoutenable.

     

     

     

    Si la construction européenne était démocratique, il y aurait 28 référendums, dans les 28 pays membres de l'Union européenne, le jeudi 23 juin 2016.

     

     

     

    Je dis bien : « Si la construction européenne était démocratique ... »

     

     

     

    Malheureusement, dans le monde réel, la construction européenne est anti-sociale, anti-populaire, anti-démocratique.

     

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    10
    BA
    Dimanche 21 Février 2016 à 19:09

     

    Dimanche 21 février 2016 :

     

     

     

    Le maire de Londres annonce qu'il fera campagne pour une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.

     

     

     

    Le maire de Londres, le conservateur Boris Johnson, a annoncé aujourd’hui qu'il fera campagne en faveur d'une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/02/21/97001-20160221FILWWW00132-le-maire-de-londres-annonce-qu-il-fera-campagne-pour-une-sortie-du-royaume-uni-de-l-union-europeenne.php

     

     

     

    Vendredi 19 février 2016 :

     

     

     

    Grande-Bretagne. Les partisans du Brexit en tête des sondages.

     

     

     

    Si le référendum pour le maintien de la Grande-Bretagne dans l'Union européenne se tenait aujourd'hui, les partisans du "non" l'emporterait avec 36 % des suffrages.

     

     

     

    Les Britanniques favorables à une sortie de l'Union européenne ont deux points d'avance sur les partisans du maintien, selon un sondage de l'institut TNS publié vendredi. Dans le cadre du référendum promis par le Premier ministre David Cameron, 36 % voteraient « No » et 34 %, « Yes ». Les indécis représentent 23 % et 7 % n'ont pas l'intention d'aller voter.

    Sans tenir compte des abstentions, le rapport de force, encore plus favorable au Brexit, passe à 39 % pour la sortie, contre 36 % pour le maintien.

     

     

     

    http://www.ouest-france.fr/europe/ue/grande-bretagne-les-partisans-du-brexit-en-tete-des-sondages-4045183

     

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